écovoiturage BlaBlaCar

L’écovoiturage, vous connaissez ?

Index du contenu
  1. 1. Limiter sa vitesse
  2. 2. Bien gonfler vos pneus
  3. 3. Éviter - à tout prix - le surrégime
  4. BONUS : Covoiturer

Le covoiturage, c’est fantastique et ça n’est pas nous qui vous dirons le contraire. Vous faites des économies tout en permettant à d’autres personnes d’arriver à bon port, vous voyagez en bonne compagnie… Et le top du top, c’est qu’en plus vous faites un geste pour la planète. Parce que oui forcément, remplir sa voiture c’est éviter d’autres véhicules sur les routes, et donc un rejet supplémentaire de CO2 dans l’atmosphère*.

Ça vous dirait d’aller plus loin ? Limiter au maximum l’impact écologique de vos trajets, covoiturage ou non ?

Nous allons vous montrer 3 gestes d’éco-conduite tout simples qui vous permettront à la fois de faire des économies d’essence et de réduire l’impact de vos trajets en voiture sur l’environnement. Attachez vos ceintures, c’est parti !

1. Limiter sa vitesse

Alors oui, dit comme ça, ça ne donne pas super envie. Rouler plus lentement, arriver plus tard à destination… En réduisant votre vitesse de 10 km/h, notamment sur l’autoroute, vous faites surtout des économies d’essence. Entre 3,5 et 4,5 litres en moyenne sur les longs trajets (+ de 500 km). Ok, la route sera un poil plus longue, mais vous ferez un geste pour l’environnement ET votre portefeuille. Et puis franchement, 120 à la place de 130, une fois au volant, vous voyez vraiment la différence vous ?

2. Bien gonfler vos pneus

Au sujet de la pression des pneus, tout le monde - dont sûrement vous - a sa recette secrète. Il y a les fans du sous-gonflage, pour “mieux adhérer à la route”, d’autres qui ne jurent que par le sur-gonflage, et même les sans-avis, qui s’en fichent un peu tant que ça roule. Pourtant, il n’y a qu’une seule vérité : en moyenne, un pneu sur-gonflé de 0.5 bar consomme 1.2% de carburant en plus, et 2.4% pour un sous-gonflage de 0.3 bar. Donc au final, un pneu mal gonflé vous fera aussi mal au compte en banque qu’il fait mal à la planète, en plus d’être dangereux pour vous et votre véhicule. Et si vous changiez de recette ?

3. Éviter - à tout prix - le surrégime

Vous l'avez sûrement entendu maintes fois à l'auto-école. Le fléau des voitures manuelles, le destructeur de moteurs… Le vilain surrégime. En plus d’être ultra mauvais pour votre moteur (et les oreilles de tous), le surrégime est surtout très polluant. En moyenne +20% d’émissions carbone pour une voiture roulant en surrégime. Donc la prochaine fois que vous prenez le volant, souvenez de ce que vous répétait Monsieur Bichard pendant vos leçons de conduite : “Bien souple sur la pédale, on accélère en douceur”.

BONUS : Covoiturer

On ne va pas (trop) se jeter des fleurs, mais le covoiturage est sûrement le meilleur moyen de réduire la pollution routière, et c’est peu dire. Selon une étude maison faite auprès de vous, membres BlaBlaCar, le covoiturage permet chaque année d’éviter le rejet de pas moins d’1.6 million de tonnes de CO2 dans l’atmosphère. Alors continuez (ou commencez ?) à covoiturer avec nous !

Bien sûr, il existe bien d’autres astuces de conduite écologique... Opter pour un véhicule hybride ou électrique, utiliser un régulateur de vitesse, ou tout simplement optimiser ses trajets avec une application mobile. Mais avec les 3 gestes que nous venons de vous présenter, vous avez déjà les clés pour commencer à écovoiturer de la meilleure des façons, et réduire au maximum l’impact écologique de vos trajets.
Pour la planète, chaque geste compte.
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*Selon une étude BlaBlaCar, le covoiturage permet chaque année le non-rejet de 1.6 million de tonnes de CO2 dans l’atmosphère

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